19 mai 2012

lettre ouvert


LETTRE OUVERTE DE L’ACTU’ PATRIOTE AU PEUPLE FRANÇAIS…



Chers amis, camarades,

Le patriotisme nous rassemble, l’amour pour la France nous lie, et j’espère de tout cœur que malgré le faux choix Umps ce 6 mai 2012, vous vous êtes quand même déplacés, afin d’accomplir votre devoir de citoyen.


Aujourd’hui, la France va mal, plus qu’hier, et surement moins que demain. La France se dégrade sous nos yeux depuis plus de 30 ans, faute d’un régime oligarchique qui n’a pas intérêt à la soigner.

 Les temps qui viennent s’annoncent difficiles, des réductions déchirantes de niveau de vie sont inéluctables, si l’on continue la politique suivie depuis trente ans par la gauche et la droite confondues, la politique de suppression pure et simple de nos frontières physiques, commerciales, migratoires, sanitaires et internationales.


Hier la droite, aujourd’hui la gauche et cela depuis 3 décennies, que la balle détenue par l’élite mondialiste, passe d’un côté à l’autre du terrain, sans rien changer à la politique désastreuse mise en place par cette même élite. Copinage avec les amis du Cac 40, corruption, emplois fictifs, abus de biens sociaux etc… La politique UMPS nous balade, Car c’est bien la désespérance face à cette propagande puissante et habile, relayée par toutes les institutions (journaliste, médias etc…), qui entraîne ce découragement, ce pessimisme incarné dans la fatalité du « on ne peut rien contre la crise… », Mais une crise qui dure près de quarante ans, n’est plus une crise, mais un système complet.

 La crise est l’enfant naturel du mondialisme, idéologie idolâtrant la mondialisation au lieu de la contrôler là où c’était possible, dans certains domaines liés à l’évolution des techniques et des technologies.

 Les apprentis-sorciers qui ont eu le projet de détruire les Nations pour construire le rêve cauchemardesque du village global, l’utopie d’un monde égalitaire - mais où tout de même, il y auraient des gens plus ou moins égaux - sans différence de race - mais où il y en aurait qui aurait le droit de se maintenir dans leur intégrité tandis que les autres seraient vivement encouragés à se métisser - , sans différence de sexe, ni de religion, ni finalement d’opinion, tous étant contraints, y compris par la loi et sous menace de sanctions pénales de croire à la vulgate antiraciste et de se soumettre à la Pensée Unique.

 Ces apprentis-sorciers ont conduit le monde à sa ruine, les peuples à la misère et peut-être demain à la guerre.

 L’Union Européenne a été, en ce qui nous concerne, l’un des vecteurs de cette abomination, sacrifiant à l’illusion qu’en unissant des faiblesses et en collectivisant les peuples d’Europe, on arriverait à créer un état oligarchique sur le modèle américain, sans voir, ou, pour certains en espérant la déréliction de la Nation, la suppression des frontières, la perte de notre souveraineté politique, militaire et monétaire en brisant le ressort national et l’homogénéité du peuple français.

 Ignorent-ils, feignent-ils d’ignorer que l’oligarchie mondialisée possède toujours deux fers au feu, qu’un Hollande peut remplacer au pied levé un Sarkozy ou un Strauss-Kahn, sans jamais changer l’essentiel ?

 Le mondialisme est en effet une idéologie, qui a pour trait principal de nier l’utilité des nations. Livré au mondialisme, le travailleur français est désormais placé de façon croissante en situation de concurrence avec tous les travailleurs des autres pays et doit, face à la menace de délocalisation, se plier aux règles de cet hypercapitalisme, dans l’espoir incertain de conserver son emploi et son salaire.

 L’entrée dans l’euro accéléra le phénomène qui, appuyé sur l’ouverture généralisée des frontières exposant nos produits à la concurrence de ceux des pays à bas coûts de production, vit dans le même mouvement le chômage augmenter, la protection sociale diminuer et les délocalisations se succéder.


L’euro, tant vanté par la classe politique avant sa création, dessine peu à peu un véritable cauchemar social.

L’abandon du Franc au profit de la monnaie unique a d’abord entrainé une hausse des prix sans précédent depuis sa mise en œuvre en 2001 : de 30 à 250% d’augmentation sur la plupart des produits de base !


La politique, pour le capitalisme financier ultralibéral, ce n’est plus qu’une aide utile au monde du profit. Le cabinet du président de la république, ou celui d’un ministre devient un accélérateur de carrière pour devenir à terme dirigent d’une banque ou d’une société du Cac 40. Cette connivence entre les puissances de l’argent et ceux qui ont détourné les pouvoirs de la puissance publique au profit de leurs intérêts de caste, est un mélange dramatique pour nos sociétés démocratiques.

 Dans une Europe dirigée par la finance, les banques, cette petite part de la population qui détient le pouvoir appelée « Elite », favorable à la construction de l’Europe afin de retirer le pouvoir que détenait le peuple, voit des populations détruites sans la moindre culpabilité.

 On va ainsi détruire nos traditions locales, culturelles, culinaires, notre façon de vivre pour mieux nous préparer au grand métissage internationaliste afin d'être identiques en tous point du globe et nous satisfaire des standards de consommation fournis par le Nouvel Ordre Mondial.


Finis, les fromages au lait cru, réputés impropres à la consommation. Fini le droit imprescriptible de chasse, car les bobos triomphent à Bruxelles !C’est là une véritable opération de subversion révolutionnaire !


Alors, mesdames et messieurs, il nous faut une fois de plus dire la vérité à nos compatriotes : les temps qui viennent s’annoncent difficiles, des réductions déchirantes de niveau de vie sont inéluctables, si l’on continue la politique suivie depuis trente ans par la gauche et la droite confondues, la politique de suppression pure et simple de nos frontières physiques, commerciales, migratoires, sanitaires et internationales.

 Cette politique de suppression de nos frontières, cette politique d’intégration mondiale de la France, elle n’est pas tombée du ciel. C’est l’Europe qui l’a mise en œuvre.


Cette politique qui a fait la preuve de sa nocivité, de sa dangerosité, les Français l’ont refusée, le 29 mai 2005, en disant massivement non au référendum sur la Constitution européenne alors que l’immense majorité appelait, contre nous, à voter Oui.

 Depuis, Nicolas Sarkozy a été élu, et il n’a de cesse de remettre sur les rails cette Europe supranationale, pourtant sans force, sans moteur, sans âme.

 Puis la société de consommation et de loisir a explosé. La recherche de nouveaux marchés a poussé à la mondialisation des économies, qui s'est accélérée, sous l'impulsion des multinationales.

 Il fallait donc démanteler les frontières économiques, pour augmenter la satisfaction des besoins, pour abêtir les peuples par la publicité et le nivellement par le bas, au service exclusif des spéculateurs internationaux.

 La classe politique a défendu et promu cette Europe-monde, ouverte à tous les vents du dumping monétaire, fiscal et social des pays à bas coût du travail.

 Après la création d'un marché commun sans frontières, le projet de l’Union européenne consiste désormais à instaurer une dictature bureaucratique via le Super Etat européen.

 De fait, depuis vingt ans, cette dérive centralisatrice, elle est là et bien là, quand 33.000 fonctionnaires européens nous dépouillent méthodiquement de tous nos instruments de gouvernement, de tous nos pouvoirs de décision, de toute notre liberté de choix.

 On nous a pris notre pouvoir fiscal de décider l'impôt, notre pouvoir budgétaire, de dépenser notre propre argent comme nous le voulons, notre droit de battre monnaie et jusqu'au pouvoir de faire nos lois.

 Et ce que nous percevons de l’Europe ne vient pas du Ciel, mais de ce que nous versons, nous-mêmes, nous, citoyens Français corvéables à merci, nous contribuables pressurables à merci !

 Ce que peu de gens savent, c’est que notre contribution annuelle à l’Europe sert avant tout à notre propre destruction.

 L'idéologie libre-échangiste et arbitraire de Bruxelles va en effet démanteler notre modèle économique et social, un modèle fragile qui s'était bâti sur de difficiles compromis et qui est le fruit historique d'une longue lutte politique, populaire, scientifique et morale.

 Notre pays s'est en effet construit grâce à la sueur, aux larmes et au sang versés par nos ancêtres, ces millions de Français qui au travers d'un labeur millénaire avaient forgé une grande nation et nous avaient doté d’un inestimable patrimoine commun.

Cet acquis, cet héritage est aujourd'hui sacrifié.

 C’est dans ce cadre que s’inscrit le recours à l'immigration de travail et de peuplement, pour nous liquider.

Alors on nous dit qu’il y aurait une pénurie de main d'œuvre et que l’immigration planétaire permettrait de trouver une issue à la crise économique et démographique.

 Avec l'instauration de la "carte bleue européenne", à l'image de la carte verte américaine, l'immigration légale est présentée par les européistes comme le moyen ultime de palier le manque de main d'œuvre qualifiée et une chance pour l'Europe en termes de renouveau démographique.

 Ainsi au lieu de décider des politiques natalistes et une meilleure formation et orientation de la jeunesse, on fait appel à l'immigration dite légale alors que l'intégration des populations étrangères extra européennes est un échec constaté partout en Europe.

 Cette immigration constituerait néanmoins, dit-on, un apport positif du point de vue économique, social et culturel.

Mais qui peut raisonnablement le croire ?

- La société s’est appauvrie, en raison notamment du poids croissant des immigrés qui sont à sa charge.

- En effet, nous avons accueilli 10 millions d’immigrés en 35 ans,

- L’immigration nous coûte 70 Milliards d’euros par an

Nos valeurs et notre religion sont remises en cause par celles des immigrants, nos équipement collectifs – crèches, écoles, logements – sont saturés, la paix civile est menacée partout, l’insécurité explose….

 Qui peut croire, qui veut encore croire que l’immigration est une chance pour la France ? A part les politiciens européistes, personne ! Dès lors, comme ce discours n’est plus tenable, on nous en sert un autre.
On nous a fait renoncer à nos frontières nationales, en échange, disait-on, d'une protection plus forte sur les frontières européennes.
Patriote ne subissons plus le pouvoir, basculons-le coût que coût.

 Valentin.D

 [L'actu' patriote]

 http://www.facebook.com/MON.ACTU.PATRIOTE?ref=tn_tnmn