28 juillet 2012

les islamistes sont déja là


Les islamistes sont déjà là

Islamisation de la France : un livre choc révèle l'ampleur du phénomène.

En publiant "Les islamistes sont déjà là", les journalistes Christophe Deloire et Christophe Dubois ont fait oe

En publiant "Les islamistes sont déjà là", les journalistes Christophe Deloire et Christophe Dubois ont fait
uvre salutaire. Bien sûr, on pourra regretter que cet ouvrage arrive si tard. On pourra aussi s'étonner qu'il ait été écrit par des journalistes duPoint et du Parisien , deux organes de presse qui, durant de longues années, de trop longues années, se sont abstenus de dénoncer le danger de l'islamisation de la France, et qui se sont même ingéniés à diaboliser, ignorer et mépriser ceux qui, à l'image de Voix des Français , avaient vu le danger avant les autres. On pourra regretter aussi que le lien entre immigration massive et islamisation ne soit jamais clairement établi par les auteurs. Mais, nonobstant ces remarques préliminaires, on aurait tort de bouder cet ouvrage. Loin de toute analyse, il s'agit d'un catalogue inédit des nombreux témoignages et symptômes de l'alarmant processus d'islamisation qui est à l'oeuvre dans notre pays.
Le livre de Christophe Deloire et Christophe Dubois* se lit comme unechronique des temps présents. Il ne s'agit nullement d'un essai ou d'une thèse, mais seulement d'une sorte de vaste recension des petits et grands faits qui, mis bout à bout, révèlent l'ampleur du processus d'islamisation à l'oeuvre dans notre pays.

Offensive islamiste en milieu scolaire...
Leur ouvrage fourmille d'anecdotes. Puisque nous sommes en septembre,période de la rentrée scolaire, commençons par celles concernant le militantisme islamique à l'école. "Depuis quelques années, notent les auteurs, tout a changé. autrefois anodine, la période du ramadan est désormais propice aux dérapages." Et de citer le témoignage de Roland Jouve, conseiller de Xavier Darcos, à l'époque ministre délégué à l'enseignement scolaire : "Lors du jeûne du ramadan, des garçons viennent parfois contrôler l'accès du self pour éviter que de supposés coreligionnaires viennent se restaurer." Ce n'est pas tout. Des pressions s'exercent également sur les professeurs à propos du contenu de leurs cours. Cité par les auteurs, Hubert Tison, secrétaire général de l'Association des professeurs d'histoire et de géographie révèle que "des tentatives d'ingérence soit d'organisations, soit de personnalités religieuses ou politiques, se font jour dans les contenus d'enseignement [...]." Ainsi, les incidents se multiplient lorsque les professeurs abordent des périodes sensibles telles que les croisades, l'islam au VIIIe siècle, mais aussi lors des cours de sciences naturelles...

Les éducateurs sociaux voulaient insérer par l'islamisme
D'autres chapitres du livre apportent des révélations inédites sur l'activisme islamiste dans les banlieues où il arrive que les militants radicaux recrutent sous couvert de vouloir favoriser l'insertion des jeunes. Ainsi une association dont les statuts prétendent "contribuer à l'action des jeunes, la formation morale, physique, pratique et civique des enfants et adolescents", mais dont le conseil d'administration révèle des objectifs moins louable. L'un, membre du Front islamique algérien "a été condamné à quatre ans de prison après la découverte d'armes et d'équipements de tir à son domicile." Un autre est "un opposant islamique tunisien", tandis que les deux fondateurs de l'association "citoyenne", seront ultérieurement "mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du commandant Massoud, en septembre 2001."

Place Beauvau, comme à la mosquée...
Les auteurs se font enfin un malin plaisir à révéler comment, au mépris detoute laïcité, les imams ont imposé leurs pratiques religieuses jusque dans les immeubles ministériels lors des négociations portant sur la création du Conseil français du culte musulman (CFCM). La scène se déroule le 8 novembre. Ce jourlà, la commission d'organisation du culte musulman se réunit, place Beauvau, au ministère de l'Intérieur, alors dirigé par le très laïc Jean-Pierre Chevènement. Pourtant, lorsque Mohamed Boukhima Moussaoui, représentant de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF) qui préside la séance, ouvre la réunion par la récitation d'une prière, reprise en coeur par la plupart des présents, le conseiller du ministre ne réagira pas. Si bien que lors de la réunion suivante, les radicaux décident de pousser plus avant leur avantage, un membre delL'Union des organisations islamiques de France (UOIF) décidant de se mettre à genoux en direction de la Mecque et de prier, comme s'il était à la mosquée. Comme le précisent Christophe Deloire et Christophe Dubois, ce n'est qu'à l'issue de la réunion que le conseiller du ministre se décide à faire un rappel à l'ordre, en déclarant au représentant de l'UOIF : "Monsieur, votre prière, tout à l'heure, dans ce lieu même, était inconvenante." Mais ce tardif rappel à l'ordre sera sans effet. "Ces dérives, notent les auteurs, ne cesseront jamais, ni lorsque Daniel Vaillant sera ministre, ni lorsque Nicolas Sarkozy lui succédera."

Une fresque impressionniste et impressionnante
Au final, certains lecteurs pourraient juger que ces anecdotes et les mille autres révélées par ce livre, ne sont que des anecdotes ne prêtant pas à conséquence. Ils auraient tort. Car les quelque soixante-dix courts chapitres de l'ouvrage dressent une sorte de fresque impressionniste et impressionnante de l'incrustation de l'islam radical dans notre pays. Certes, pris isolément les uns des autres, les faits ici décrits sont parfois sans autre importance que symbolique. Mais leur accumulation révèle une tendance lourde. Et il faut les interpréter au regard d'une citation, extraite du rapport de la Commission Stasi de 2003, que l'on ne saurait accuser d'extrémisme, puisque son président, tout récemment encore plaidait pour que la République instaure un jour férié pour les musulmans. "Des groupes extrémistes, peut-on lire dans ce rapport, sont à l'oeuvre dans notre pays pour tester la résistance de la République." Nul ne doute qu'ils l'ont jusqu'ici trouvée aussi tendre que le cou du mouton un jour d'Aïd...

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