29 juillet 2010

la France en état de guerre civile

Il y a trente ans, le moindre crime de cet acabit aurait fait la une des journaux télévisés de 20 heures pendant plusieurs jours et provoqué l’indignation générale.




A Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), des bus sont caillassés ou incendiés en représailles d’arrestations de trafiquants de drogue.





A Grenoble (Isère), Martin, 23 ans, est lynché en plein centre ville par une bande de « jeunes » venus des « quartiers sensibles ».


Le ministre de l’Intérieur décide de faire accompagner les bus par des CRS. Non seulement les bus sont encore victimes de caillassages, mais même de tirs d’armes à feu





A Narbonne (Aude), un commerçant de 59 ans voit sa boutique saccagée et sa voiture sabotée.

Escalade de violences dans les bus de Toulon (Var)


Le journal « La Provence » remarque « l’inquiétante flambée des actes de violence gratuite » à Aix-en-Provence (Bouche-du-Rhône), ville pourtant réputée paisible par rapport à sa voisine Marseille.



A Etampes (Essonne), un jeune homme de 23 ans frappe violemment le petit ami de sa sœur avec une barre de fer. La victime souffre de plusieurs fractures du crâne. Elle a été placée dans un coma artificiel. Son pronostic vital est engagé.

« A mort, les juifs, à mort la police », peut-on lire sur des inscriptions laissées sur place.




Descentes récurrentes de centaines de « jeunes blacks », selon le forain Marcel Campion, à la Foire du Trône en plein Paris, avec moult agressions et lynchages de blancs « au faciès ».



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Des journalistes de France 3 venus enquêter sur les violences urbaines sont arrosés de gaz lacrymogène et dépouillés à Villepinte (Seine-Saint-Denis)

La « violence gratuite » se banalise alors même qu’elle devient de plus en plus barbare.



Aucun Français ne peut donc croire que la délinquance stagne ou est en baisse, comme l’annonce régulièrement le gouvernement à partir de chiffres pro domo.


 
 
Les enfants d’Arméniens ou d’Italiens qui vivaient dans les bidonvilles de Villeurbanne n’incendiaient pas leurs écoles et ne lapidaient pas les policiers
 
Ces fameuses « cités » des banlieues « rouges », aujourd’hui désignées pudiquement de « zones sensibles », étaient paisibles quand elles étaient habitées par des enfants de paysans venus travailler dans les usines des villes


La moindre voix discordante est qualifiée de raciste et de xénophobe. Quand Eric Zemmour constate le fait que « la plupart des trafiquants sont noirs ou arabes », il est traîné dans les prétoires par le Mrap, SOS-Racisme et aussi par la Licra, dont le conseil fédéral vient de décider de poursuivre le journaliste en justice.


 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pas un n’a levé le petit doigt quand on a brûlé le drapeau national à Toulouse


Ou quand la FNAC veut décerner un prix à une photo montrant qu’on se torche le cul  avec ce même drapeau


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nous assistons à une rébellion à caractère ethnique et/ou religieux, à des attaques dirigées par des résidents minoritaires contre une partie de la population (autochtone, « sous-chienne », blanche, européenne) et contre ses biens et ses idéaux.